Mon oncle Antoine est
un film de Claude Jutra, relâché en 1971. Il est un des films le plus célèbre
dans l’histoire du film canadien, surtout du film québécois. Il raconte les
évènements d’une veille de noël aux années 1940 dans une petite ville dans la
région de l’amiante de Québec. C’est une histoire surtout d’un jeune homme de
quinze ans qui vit une vie parmi des adultes dans une société qui est à la
veille du changement. Benoît vit avec son oncle et sa tante, qui marchent un
magasin général et une petite entreprise de pompes funèbres. Il est amoureux
(ou curieux) d’une fille Carmen, qui travaille aussi dans le magasin. Comme
plusieurs de son âge, il est pris entre l’enfance et la maturité : il aime
lancer des boules de neige avec son ami, mais il est aussi fier de
l’opportunité d’aider son oncle. Il est bien responsable, mais parfois il
permet sa curiosité de lui amener trop loin.
Comme Le Chandail, ce film montre le Québec
sous la « grande noirceur » des années 1940. Il n’y a pas beaucoup de
travaille disponible dans les petites villes, alors plusieurs hommes cherchent
le travaille dans les bois ou les mines. M. Poulin, par exemple, est allée
travailler comme bucheron après une dispute avec son ancien patron anglais. La
ville est en transition ; le magasin offre des modes récentes des grandes
villes, mais la méthode de transportation est encore la calèche. Cette
transition est reflétée par la période d’adolescence de Benoît.
Ce film est
important pour le Canada car elle montre très bien la vie d’un pays jeune et travailleur.
Il montre honnêtement et sans jugement les émotions des ados, la fureur de désespoir
des adultes, et la complexité d’un communauté. Aucune personnage est sans
fautes, mais ils ont tous une charme et une intelligence.
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Mon oncle Antoine