Friday, November 30, 2012

Mon oncle Antoine


Mon oncle Antoine  est un film de Claude Jutra, relâché en 1971. Il est un des films le plus célèbre dans l’histoire du film canadien, surtout du film québécois. Il raconte les évènements d’une veille de noël aux années 1940 dans une petite ville dans la région de l’amiante de Québec. C’est une histoire surtout d’un jeune homme de quinze ans qui vit une vie parmi des adultes dans une société qui est à la veille du changement. Benoît vit avec son oncle et sa tante, qui marchent un magasin général et une petite entreprise de pompes funèbres. Il est amoureux (ou curieux) d’une fille Carmen, qui travaille aussi dans le magasin. Comme plusieurs de son âge, il est pris entre l’enfance et la maturité : il aime lancer des boules de neige avec son ami, mais il est aussi fier de l’opportunité d’aider son oncle. Il est bien responsable, mais parfois il permet sa curiosité de lui amener trop loin.

Comme Le Chandail, ce film montre le Québec sous la « grande noirceur » des années 1940. Il n’y a pas beaucoup de travaille disponible dans les petites villes, alors plusieurs hommes cherchent le travaille dans les bois ou les mines. M. Poulin, par exemple, est allée travailler comme bucheron après une dispute avec son ancien patron anglais. La ville est en transition ; le magasin offre des modes récentes des grandes villes, mais la méthode de transportation est encore la calèche. Cette transition est reflétée par la période d’adolescence de Benoît.


Ce film est important pour le Canada car elle montre très bien la vie d’un pays jeune et travailleur. Il montre honnêtement et sans jugement les émotions des ados, la fureur de désespoir des adultes, et la complexité d’un communauté. Aucune personnage est sans fautes, mais ils ont tous une charme et une intelligence. 

Liens:
Mon oncle Antoine

Thursday, November 29, 2012

Éloge du Chiac


Éloge du Chiac est un film de Michel Brault fait en 1969. Comme plusieurs autres films de Brault, il est dans le style de cinéma vérité : en autre mots, il est directe et honnête, sans narration. Il prend lieu à une école bilingue à Moncton en mai 1968, dans une classe d’adolescents. Leur prof, Rosanna LeBlanc, est acadienne et elle suggère que la question du jour est le biculturalisme. Avec l’aide de sa classe, le film explore le thème de biculturalisme.

Sa classe est pleine d’élèves avec des opinions fortes. Plusieurs sont acadiens, mais il y a un couple d’enfants qui vient de Montréal ou qui sont anglais. Leur diversité contribue à la discussion et offre plusieurs points de vue. Plusieurs enfants ne parlaient pas français chez eux ; un étudiant explique que son père ne parle n’est pas français et il faut parler l’anglais pour son boulot. Un autre élève remarque que c’est toujours le français qui doit s’adapter. Par exemple, quand un group d’amis joue ensemble, ce sont les français qui apprennent l’anglais, pas l’inverse. Pour les élèves qui parlent français chez eux, la plainte est que le français appris à l’école ne correspond pas au registre de la langue parlé à la maison.

« L’Acadie n’a aucune langue », dit un élève. Certaines soutiennent que c’est le français, autres pense que c’est le chiac. Cependant, ils sont tous d’accord que l’anglais ne devrait pas être parlé à l’école. La puissance du film est qu’il ne resoude pas l’enjeu ; il ne présente pas un solution. Le film termine par montrer les enfants heureux qui marchent lentement chez eux avec leurs amis

Ce film est important pour le Canada car il montre sur une petite échelle la tension de langue qui existe non seulement entre l’anglais et le français, mais entre le chiac et le français. Aussi, il est évident que ces enjeux affectent non seulement le gouvernement et la bureaucratie, mais les familles et les étudiants. La lutte d’une seule enseignante pour résoudre les problèmes qui accompagne le biculturalisme est représenté d’un façon honnête dans Éloge du chiac.

Liens :
Éloge du chiac

Wednesday, November 28, 2012

Québec, Tremplin Stratégique


Ce film, relâché en 1942 par Radford Crawley, illustre l’usage et le pouvoir de la propagande pendant la deuxième guerre mondiale. Selon l’ONF, son but était de convaincre le peuple québécois à soutenir les efforts de guerre.
La première partie du film explique pourquoi le Québec est une cible naturelle et désirable pour les Nazis. Le province grouille avec des ressources naturelles : des forets pour la production de bois, des rivières pour l’énergie hydroélectrique, et des minéraux pour la production des munitions. La terre fertile pourrait produire la nourriture pour des soldats et le fleuve St. Laurent est idéal pour le transport. De plus, le Québec est vulnérable ; il est facile à conquérir car il est peu modernisé et sans défense. Selon le film, Montréal était la seule ville libre dans le monde française. Les pays alliés dépendaient sur des produits canadiens pour nourrir leurs soldats et les fournir avec l’équipement. Donc, le Québec est une cible pour les Nazis qui voulaient affaiblir leurs adversaires.

Cependant, le film nomme l’esprit des Québécois comme leur arme le plus effective. Surtout chez les paysans, la camaraderie et la communauté unirent le peuple. Le film désigne la période comme « le siècle du peuple » : un peuple qui travaille forte et ensemble pour lutter contre les Nazis. Il contraste des autres types de propagande qui concentre sur l’ennemi ; Québec, Tremplin Stratégique donne du pouvoir au peuple pour utiliser leurs ressources et reconnaître leur esprit de communauté.

Liens :

Québec, Tremplin Stratégique

La propagande de guerre de l’État canadien: le cas de l’Office national du film de 1940 à 1945, par Pierre Veronneau


Tuesday, November 27, 2012

Le Chandail



Comme film d’ONF Le Chandail était réalisé par Sheldon Cohen en 1980, un an après sa publication comme une histoire courte dans Les enfants du bonhomme dans la lune par Roch Carrier. Le film dure dix minutes et il présente la voix de Carrier qui lit l’histoire. Cette histoire parfaitement Canadien est aussi représenter hors de la littérature des enfants et le film : un extrait se trouve au dos de notre billet de cinq dollars :

« Nous vivions en trois lieux : l’école, l’église et la  patinoire; mais la vraie vie était sur la patinoire. »

Quand on est petit, on peut compatir avec le petit Roch, qui ne veut pas porter un chandail car ses amis vont lui moquer. On comprend bien sa mère, qui ne veut pas gaspiller du temps et de l’argent quand le chandail est la propre taille est il est nouveau. On connaît la déception d’être ignoré pendant un jeu. Surtout, on comprend la honte et la colère de Roch quand il est forcé d’aller à l’église quand il se comportait mal—même si on n’est pas religieux, on est tous sensible aux conséquences. Quand j’étais plus jeune, je sentais la solidarité avec Roch quand j’ai lu l’histoire. Il était une histoire très accessible aux enfants, et très Canadien. Montréal ? Toronto ? Elles étaient des villes que je connais. Le Chandail était une histoire avec laquelle les enfants pouvaient s’identifier.

Maintenant, je remarque des autres grandes thèmes de l’histoire : ruralité, relations anglais/français, et la religion (et l’hockey, bien sur). L’histoire prend lieu dans l’hiver de 1946, avant la modernisation de Québec. Dans des petites villes rurales, tels que Ste. Justine, le radio et le catalogue Eatons étaient probablement les seuls liens avec des grandes villes. Il est évident que la religion joue un rôle important de la vie des jeunes et des familles ; l’église est un des trois lieux ou les jeunes passaient leur temps. Peut être la thème la plus importante est la friction entre les anglais et les français. Ce n’est pas très évident quand on est jeune ; on voit que la mère ne parle pas anglais, alors elle écrivait à M. Eaton en français. On ne voit pas la haine des Maple Leafs de Toronto comme relié à leur langue, mais juste qu’il n’était pas leur équipe. Maintenant, il est clair que toute la problème pourrait été évité si le catalogue de Eatons était disponible en français : la mère aurait était capable de remplir les formulaires et le propre chandail aurait été envoyé. Ou, si la tension entre les anglais et les français n’existait pas, il aurait été un simple question de réécrire M. Eaton et lui demandé pour le chandail des Canadiens.

Le Chandail est une histoire très importante pour le Canada car elle offre quelque chose à tous les âges. Pour les enfants, un ami est trouvé dans le pauvre Roch. Pour les adultes, elle force un examen des relations entre l’urbain et la rurale, et entre l’anglais et le français. Grâce à l’ONF/NFB, le film (et le livre) est disponible en deux langues, à n’importe qui avec une connexion internet.

Liens :
Le Chandail
http://www.onf.ca/film/chandail_le

Monday, November 26, 2012

Introduction...



Quand j’étais petite, mon frère et moi on emprunter des vidéos de l’ONF sur VHS : des classiques (pour la population anglais) tels que Paddle to the Sea, The Cat Came Back, et The Log Driver’s Waltz. Mes parents, qui étaient très stricte concernant le matériel qu’on regardait sur la télé, ont aussi aimé ces vidéos et des fois on regardait ensemble.
J’ai beaucoup aimé les histoires et les aventures racontées par ces petits films, mais je n’ai jamais connu l’importance de leur production jusqu’à l’école secondaire, quand on a appris de la Conseil de radiodiffusion et des télécommunications canadiennes et des autres efforts du ministère du Patrimoine.  Ces films sont importants pour plusieurs raisons, pas juste le divertissement après l’école.

L’ONF/NFB était créée en 1939 avec une mission de créer des films qui représente la vie canadienne, pour les canadiens. Dans le domaine de sociologie, on appelle ce phénomène la « communauté imaginé ». Il veut dire que notre communauté comme un nation n’est pas basé sur des interactions de face-à-face, mais par la communication de notre identité nationale par la littérature, l’art, les nouvelles, les films, et les évènements.  Dans un gros pays comme le Canada, nous n’allons jamais rencontrer la plupart de nos voisins ; on peut connaître seulement notre propre situation. Les films de l’ONF sont un effort de créer cette communauté imaginée car ils décrivent toutes sorts de caractéristiques canadiens. L’ONF divise ses films en plus que dix catégories : de l’art, à l’animation, aux documentaires sur la nature. La diversité du Canada est représentée par la diversité des films.

En termes de la francophonie, l’ONF est également français qu’anglais. Un des films le plus célèbre de l’ONF est Le Chandail. Disponible en français et anglais, il est basé sur le livre Le Chandail de l’hockey par Roch Carrier et il discute un sujet que tous les canadiens peuvent bavarder : l’hockey. L’ONF joue son rôle dans la francophonie avec des films sur la culture Québécois et Acadien et sur des enjeux qui troublent les francophones canadiens.

Je vais discuter quatre films de l’ONF que je pense représentent un variété de ce qui est disponible. Ils ne sont pas les petites animations anglaises de mon enfance, mais ils montrent la capacité de l’ONF d’unir la communauté imaginée du Canada à n’importe quel âge.

Vous pouvez voir tous les films de L'ONF/NFB ici: