Tuesday, November 27, 2012

Le Chandail



Comme film d’ONF Le Chandail était réalisé par Sheldon Cohen en 1980, un an après sa publication comme une histoire courte dans Les enfants du bonhomme dans la lune par Roch Carrier. Le film dure dix minutes et il présente la voix de Carrier qui lit l’histoire. Cette histoire parfaitement Canadien est aussi représenter hors de la littérature des enfants et le film : un extrait se trouve au dos de notre billet de cinq dollars :

« Nous vivions en trois lieux : l’école, l’église et la  patinoire; mais la vraie vie était sur la patinoire. »

Quand on est petit, on peut compatir avec le petit Roch, qui ne veut pas porter un chandail car ses amis vont lui moquer. On comprend bien sa mère, qui ne veut pas gaspiller du temps et de l’argent quand le chandail est la propre taille est il est nouveau. On connaît la déception d’être ignoré pendant un jeu. Surtout, on comprend la honte et la colère de Roch quand il est forcé d’aller à l’église quand il se comportait mal—même si on n’est pas religieux, on est tous sensible aux conséquences. Quand j’étais plus jeune, je sentais la solidarité avec Roch quand j’ai lu l’histoire. Il était une histoire très accessible aux enfants, et très Canadien. Montréal ? Toronto ? Elles étaient des villes que je connais. Le Chandail était une histoire avec laquelle les enfants pouvaient s’identifier.

Maintenant, je remarque des autres grandes thèmes de l’histoire : ruralité, relations anglais/français, et la religion (et l’hockey, bien sur). L’histoire prend lieu dans l’hiver de 1946, avant la modernisation de Québec. Dans des petites villes rurales, tels que Ste. Justine, le radio et le catalogue Eatons étaient probablement les seuls liens avec des grandes villes. Il est évident que la religion joue un rôle important de la vie des jeunes et des familles ; l’église est un des trois lieux ou les jeunes passaient leur temps. Peut être la thème la plus importante est la friction entre les anglais et les français. Ce n’est pas très évident quand on est jeune ; on voit que la mère ne parle pas anglais, alors elle écrivait à M. Eaton en français. On ne voit pas la haine des Maple Leafs de Toronto comme relié à leur langue, mais juste qu’il n’était pas leur équipe. Maintenant, il est clair que toute la problème pourrait été évité si le catalogue de Eatons était disponible en français : la mère aurait était capable de remplir les formulaires et le propre chandail aurait été envoyé. Ou, si la tension entre les anglais et les français n’existait pas, il aurait été un simple question de réécrire M. Eaton et lui demandé pour le chandail des Canadiens.

Le Chandail est une histoire très importante pour le Canada car elle offre quelque chose à tous les âges. Pour les enfants, un ami est trouvé dans le pauvre Roch. Pour les adultes, elle force un examen des relations entre l’urbain et la rurale, et entre l’anglais et le français. Grâce à l’ONF/NFB, le film (et le livre) est disponible en deux langues, à n’importe qui avec une connexion internet.

Liens :
Le Chandail
http://www.onf.ca/film/chandail_le

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