Comme film d’ONF Le Chandail était
réalisé par Sheldon Cohen en 1980, un an après sa publication comme une
histoire courte dans Les enfants du
bonhomme dans la lune par Roch Carrier. Le film dure dix minutes et il
présente la voix de Carrier qui lit l’histoire. Cette histoire parfaitement
Canadien est aussi représenter hors de la littérature des enfants et le
film : un extrait se trouve au dos de notre billet de cinq dollars :
« Nous vivions en trois lieux : l’école,
l’église et la patinoire; mais la vraie vie était sur la patinoire. »
Quand on est petit, on peut compatir avec le
petit Roch, qui ne veut pas porter un chandail car ses amis vont lui moquer. On
comprend bien sa mère, qui ne veut pas gaspiller du temps et de l’argent quand
le chandail est la propre taille est il est nouveau. On connaît la déception
d’être ignoré pendant un jeu. Surtout, on comprend la honte et la colère de
Roch quand il est forcé d’aller à l’église quand il se comportait mal—même si
on n’est pas religieux, on est tous sensible aux conséquences. Quand j’étais
plus jeune, je sentais la solidarité avec Roch quand j’ai lu l’histoire. Il
était une histoire très accessible aux enfants, et très Canadien.
Montréal ? Toronto ? Elles étaient des villes que je connais. Le
Chandail était une histoire avec laquelle les enfants pouvaient
s’identifier.
Maintenant, je remarque des autres grandes
thèmes de l’histoire : ruralité, relations anglais/français, et la
religion (et l’hockey, bien sur). L’histoire prend lieu dans l’hiver de 1946,
avant la modernisation de Québec. Dans des petites villes rurales, tels que
Ste. Justine, le radio et le catalogue Eatons étaient probablement les seuls
liens avec des grandes villes. Il est évident que la religion joue un rôle
important de la vie des jeunes et des familles ; l’église est un des trois
lieux ou les jeunes passaient leur temps. Peut être la thème la plus importante
est la friction entre les anglais et les français. Ce n’est pas très évident
quand on est jeune ; on voit que la mère ne parle pas anglais, alors elle
écrivait à M. Eaton en français. On ne voit pas la haine des Maple Leafs de
Toronto comme relié à leur langue, mais juste qu’il n’était pas leur
équipe. Maintenant, il est clair que toute la problème pourrait été évité si le
catalogue de Eatons était disponible en français : la mère aurait était
capable de remplir les formulaires et le propre chandail aurait été envoyé. Ou,
si la tension entre les anglais et les français n’existait pas, il aurait été
un simple question de réécrire M. Eaton et lui demandé pour le chandail des
Canadiens.
Le Chandail est une histoire très importante pour le
Canada car elle offre quelque chose à tous les âges. Pour les enfants, un ami
est trouvé dans le pauvre Roch. Pour les adultes, elle force un examen des
relations entre l’urbain et la rurale, et entre l’anglais et le français. Grâce
à l’ONF/NFB, le film (et le livre) est disponible en deux langues, à n’importe
qui avec une connexion internet.
Liens :
Le Chandail
http://www.onf.ca/film/chandail_le
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