Quand j’étais petite, mon frère et moi on emprunter des vidéos de l’ONF sur
VHS : des classiques (pour la population anglais) tels que Paddle to the Sea, The Cat Came Back, et
The Log Driver’s Waltz. Mes parents,
qui étaient très stricte concernant le matériel qu’on regardait sur la télé,
ont aussi aimé ces vidéos et des fois on regardait ensemble.
J’ai beaucoup aimé les histoires et les aventures racontées par ces petits
films, mais je n’ai jamais connu l’importance de leur production jusqu’à
l’école secondaire, quand on a appris de la Conseil de radiodiffusion et des
télécommunications canadiennes et des autres efforts du ministère du
Patrimoine. Ces films sont
importants pour plusieurs raisons, pas juste le divertissement après l’école.
L’ONF/NFB était créée en 1939 avec une mission de créer des films qui
représente la vie canadienne, pour les canadiens. Dans le domaine de
sociologie, on appelle ce phénomène la « communauté imaginé ». Il
veut dire que notre communauté comme un nation n’est pas basé sur des
interactions de face-à-face, mais par la communication de notre identité
nationale par la littérature, l’art, les nouvelles, les films, et les
évènements. Dans un gros pays
comme le Canada, nous n’allons jamais rencontrer la plupart de nos
voisins ; on peut connaître seulement notre propre situation. Les films de
l’ONF sont un effort de créer cette communauté imaginée car ils décrivent
toutes sorts de caractéristiques canadiens. L’ONF divise ses films en plus que
dix catégories : de l’art, à l’animation, aux documentaires sur la nature.
La diversité du Canada est représentée par la diversité des films.
En termes de la francophonie, l’ONF est également français qu’anglais. Un
des films le plus célèbre de l’ONF est Le
Chandail. Disponible en français et anglais, il est basé sur le livre Le Chandail de l’hockey par Roch Carrier
et il discute un sujet que tous les canadiens peuvent bavarder : l’hockey.
L’ONF joue son rôle dans la francophonie avec des films sur la culture Québécois
et Acadien et sur des enjeux qui troublent les francophones canadiens.
Je vais discuter quatre films de l’ONF que je pense représentent un variété
de ce qui est disponible. Ils ne sont pas les petites animations anglaises de
mon enfance, mais ils montrent la capacité de l’ONF d’unir la communauté imaginée
du Canada à n’importe quel âge.
Vous pouvez voir tous les films de L'ONF/NFB ici:
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